Jour 36 – 4° jour de « Laudato Si »
Notre intérêt se portera aujourd’hui sur les pauvretés et les fragilités liées à la mondialisation et à la fracture de plus en plus grande entre pays riches et pays pauvres, Nord et Sud.
À l’heure du coronavirus, l’Équipe de la Basilique vous rejoint dans la prière. Un confinement ne doit pas nous empêcher de nous recueillir auprès de Notre Dame d’Avioth. Au contraire : il doit être l’occasion de nous transporter autrement. Voici donc une prière quotidienne, préparée par l’Abbé Daniel Vannesson, curé de la basilique.
Notre intérêt se portera aujourd’hui sur les pauvretés et les fragilités liées à la mondialisation et à la fracture de plus en plus grande entre pays riches et pays pauvres, Nord et Sud.
« Prends bien soin de toi ! » C’est sur ce conseil que se terminent la plupart de nos messages actuellement. Ce qui signifie, de la part de celui qui le dit : avec la distanciation qui s’impose, je ne pourrai plus veiller sur toi de la même manière, je le ferai de loin mais TOI, veille sur toi car je t’aime !
S’il est vrai que « les déserts extérieurs se multiplient dans notre monde, parce que les déserts intérieurs sont devenus très grands », la crise écologique est un appel à une profonde conversion intérieure.
Pour les jours qui viennent, notre prière va s’orienter vers cet appel qui n’est certainement pas étranger à notre quotidien et que la fête de Pâques est venu renforcer : Notre Dieu a donné sa vie pour la vie de notre humanité.
Père de miséricorde, en ce jour de clôture de l’Octave de Pâques, regarde ton Église dans le visage de pauvreté qu’elle offre aujourd’hui.
Samedi dernier, nous vous parlions de Marie, dans l’attente silencieuse, douloureuse mais croyante, du Samedi Saint. Depuis, plus de trace de la mère du Seigneur…
« Je m’en vais à la pêche ! » Cette phrase de Simon-Pierre me fait penser à ces périodes de vote où les journalistes distinguent facilement deux catégories de personnes : celles qui vont voter et celles qui « vont à la pêche ». 1. Signe de croix Au nom du Père et du Fils et …
Jésus ressuscité cherche ses disciples, il va à leur rencontre sur le chemin d’Emmaüs ou à Jérusalem. À travers eux, nous l’avons vu, c’est aussi à nous qu’il se fait connaître.
Le même jour (c’est-à-dire le premier jour de la semaine), deux disciples faisaient route vers un village appelé Emmaüs, à deux heures de marche de Jérusalem, et ils parlaient entre eux de tout ce qui s’était passé.
« J’ai vu le Seigneur ! », ET elle raconta … non pas ce qu’elle a vu, mais « ce qu’Il lui avait dit. » Si c’est bien le Seigneur que nous voyons, il nous décentre !